Le forum I - TRANS - Transgenre et Transsexualité | Transidentité - Infos et Rencontres

Bordeaux : Une femme transgenre jetée du haut d’une rampe de parking
AGRESSION La jeune femme a pu sortir de l’hôpital, ses quatre agresseurs sont toujours recherchés



Une jeune femme transgenre de 25 ans a été grièvement blessée après avoir été poussée du haut d'une rampe d'accès à un parking souterrain​, dimanche matin vers 6 h à Bordeaux, a appris 20 Minutes de source policière ce lundi.

L’information avait commencé à se diffuser sur les réseaux sociaux dans la matinée. La victime a fait une chute de deux à trois mètres et souffre de multiples contusions. Elle a été prise en charge par les pompiers avant d’être transférée au CHU Pellegrin.

« Pluie de coups »
selon nos informations, l’agression s’est produite cours du Chapeau-Rouge, dans l’hyper centre de Bordeaux. La victime, qui sortait de boîte de nuit avec des amis, a été approchée par quatre hommes qui seraient rapidement devenus agressifs. Ils auraient proféré des insultes à caractère transphobe, avant de faire tomber « une pluie de coups » sur la jeune femme. Ils l’auraient ensuite soulevée et fait basculer par-dessus le parapet de la rampe d’accès au parking.

Contacté par 20 Minutes, Laurent Turbiez, responsable du service d’accueil des victimes LGBT au commissariat de Bordeaux, et responsable de la délégation Nouvelle-Aquitaine de l’association Flag !, précise que la victime se trouvait « avec un groupe d’amis qui fêtaient un anniversaire ». « Ils ont effectivement croisé quatre hommes, et c’est lorsque ces derniers ont compris que la femme était transgenre qu’ils s’en sont pris à elle, avec des propos haineux avant de la balancer du haut du parking. »

Enquête ouverte
Laurent Turbiez souligne par ailleurs la qualité du travail mené par les enquêteurs du commissariat de Bordeaux en collaboration avec les associations locales. « En moins de 24 h on a remué ciel et terre pour avancer dans cette affaire abjecte. »

Une enquête pour « violence en réunion en raison de l’orientation sexuelle de la personne » a été ouverte. Le parquet de Bordeaux a précisé à 20 Minutes que « la victime n’est plus hospitalisée et présente une ITT de 10 jours mais sera revue par le médecin légiste mardi. L’enquête confiée à la sûreté urbaine du commissariat de Bordeaux est en cours aux fins d’identification et d’audition des auteurs. »

https://www.20minutes.fr/faits_divers/2 ... pe-parking

_________________
garcon quarantaine bien dans ses baskets toujours zen ... le pire des risques c est de ne jamais en prendre.kiss

Et comme toujours pas de suite , on ne retrouvera personne . Et on va encore nous balader , c est encore des identitaires comme a lyon . Cela commence a bien faire . Il y a un gros soucis pour certains a accepter les lois de notre république . Nous avons vu le truc lors de la reunions avec les personne de la mairie de la prefecture et de la police le 17 novembre . D un coté les agressions , les enquêtes de polices , et les actions judiciaire .resultats rien . L inter réclame une fermeture des lieux identitaires du vieux lyon et refuse les patrouille de la police national dans la presqu’île. On sait que sur l ensemble des agressions physique en 2018/2019 aucune ne vient des identitaire lyonnais ou du gud . Que la seul agressions verbale lors du forum des associations etait issus des élèves du lycée catho de Bellecour . Mais non voila pour ne pas favoriser l’émergence de pont avec l extreme droite et ne pas stigmatiser une religions on préfère se voiler la face . Trois des personnes agresser ont purement et simplement quitter la reunion et se sont faché avec les représentants de l inter . Il est demander aux personnes a profil sensible d éviter les quartier de Vaulx en vélin et de Vénissieux et aussi de ne pas se rendre seul dans les endroits sensibles , comme le centre commercial de part dieu ou la police a un temps d intervention trop long . Que les suites judiciaire sont pour l instant au point mort pour des raisons de procedure liée a la minorité ou au statu des agresseurs . Donc entre une justice molle et des associations qui refuse la présence policière par idéologie anti flic , que va t on devenir

_________________
Longue vie et prospérité.

Agression d’une femme transgenre à Bordeaux : quatre hommes placés en garde à vue

https://www.sudouest.fr/2019/12/12/agre ... 5-2780.php

Remords... ou pistés ?

_________________
Libérée, Délivrée...

Remords j ai des doutes . Peut etre que comme chez nous les cameras de surveillances ont eu un effet . Et je pense que cela n’aura pas d effets sur la suite , comme chez nous ce sera juger en 2035 et que les peines seront minimes. Je suis à 100% pour les fameuses camera , dans mon quartier il en ont mis presque partout et j avoue que les rodeo nocturne ainsi que les agression ont bien diminué. Nous avons un conseil de quartier ou nous avons discuté du sujet ainsi que du doublage des patrouilles de la police national plus efficace que la municipale. Deux tentative de cambriolage en 2018/2019 je commence a en avoir plein le cul . A chaque fois j ai la franchise d assurance.

_________________
Longue vie et prospérité.

nathasha69

+1

Je pense comme toi.

Il vaut mieux ne pas avoir une allure ambiguë de nos jours.
J'ai la chance de très peu parcourir des quartiers à risques. Tu n'es pas gâtée à Lyon !
Je suis plutôt du genre trouillarde, mais je fais mon possible pour que cela ne se voit pas.
C'est devenu pire après une agression ( sans aspect trans ), j'ai pu fuir sans blessure physique. J'ai eu la bonne réaction de voir un psy. Je partais en anorexie. J'ai longtemps fait des cauchemars, parfois des quasi hallucinations lorsque un camion me talonne la nuit.

J'imagine le trauma de Nana de Bordeaux.
Avec tous mes vœux de récupérer.

Je me méfie des personnes en approche.
Une connaissance s'est fait cracher à la figure par un quémandeur car elle avait donné une pièce, mais réplique : "pour les nantis c'est 10 € minimum !"
Elle a été très choquée, rentrée pour se doucher et jeter tous ses vêtements.
Une autre a eu un coup de cutter en bas du sac, porte monnaie et smartphone disparus.

Maintenant, lorsque l'on m'interpelle et selon les cas, je ne parle pas français !
Je me suis encore faite draguée ces jours. Je n'avais pas mis de collants ( flemme ), il me demande si je n'avais pas froid aux jambes, puis il me propose de me réchauffer... Vu le type de 80 ans environ, j'étais sciée ( et pas flattée ).

Je n'accepte pas non plus de recevoir la fumée de tabac dans la g... ! Je risque de dégainer mon colt à claques ! Pas très recommandable mais je ne supporte pas.

Bises,

Meav

_________________
Libérée, Délivrée...

Femme transgenre jetée dans le vide : deux suspects, ainsi que la victime, jugés en février
Selon nos informations, deux des quatre suspects sont convoqués devant le tribunal correctionnel. Plus étonnant, la victime elle-même comparaîtra le même jour, pour avoir blessé l’un de ses agresseurs.



C'est une soirée que Nana (pseudonyme) n'oubliera jamais. D'abord parce que ce samedi 7 décembre, la jeune Rennaise, installée depuis le mois d'avril à Bordeaux, célébrait ses 25 ans avec ses nouvelles amies. Mais surtout parce que c'est à l'hôpital que la fête s'est terminée pour elle, après avoir été rouée de coups et précipitée dans le vide par des agresseurs vraisemblablement transphobes.

Après leur virée en boîte de nuit, Nana et ses amies s'était rendues au petit matin cours du Chapeau rouge, pour récupérer des clés chez une amie. « Elle ne répondait pas à l'interphone, donc on s'est mis à crier son prénom dans la rue », raconte Nana au Parisien. Un tapage matinal qui a attiré l'attention de quatre individus, « complètement ivres » d'après elle.

4 personnes en garde à vue
Ces hommes à la carrure « d'anciens rugbymen, assez trapus » et à « l'accent du Sud », exigent que les jeunes femmes « se taisent », déroulera plus tard dans sa plainte Nana, actuellement en recherche d'emploi. « Ils nous ont insultées d'emblée : salopes, putes… » soupire-t-elle. En s'approchant, les individus comprennent que Nana est transgenre. Le ton serait alors devenu transphobe. « Fermez vos gueules », s'agace la jeune métisse, dont le père est d'origine ivoirienne.

Accompagnée par trois associations (Urgence homophobie, le Girofard et Flag) ainsi que par le référent LGBT du commissariat de Bordeaux, Nana a rapidement pu déposer plainte contre X dimanche. « J'ai été très bien accueillie par la policière qui m'a entendue », salue-t-elle. Le parquet a rapidement ouvert une enquête de flagrance pour « violences en réunion ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours sur personne en raison de son orientation sexuelle ou de l'identité de genre ». Mercredi, quatre suspects ont été placés en garde à vue par la sûreté urbaine de Bordeaux, a appris le Parisien de source policière.

« C'est un putain de travesti, jetez-moi ça ! »
Aujourd'hui, Nana n'espère qu'une chose : « que justice soit faite » pour « ses quatre agresseurs ». Car si les auteurs des coups n'étaient que deux, leurs comparses auraient eux aussi joué un rôle important dans le déchaînement de violences. « Ils ont incité leurs copains à la haine », affirme Nana. « Je les entendais dire On ne tape pas les femmes, mais c'est un putain de travesti ! Jetez-moi ça ! ».

Deux jours après son agression, Nana est encore très choquée. « Je ne dors plus. J'ai des flashs. Je n'arrive plus à réfléchir normalement », témoigne-t-elle. « On m'a jetée par-dessus un muret comme on jette d'un déchet. On m'a attaquée pour ce que je suis. Je ne peux pas m'empêcher de me remettre en question. »

Une agression d'une violence inouïe, qui a fait remonter les années d'« humiliations » et de « harcèlement » qu'elle a subies tout au long de sa scolarité à Rennes. « J'ai toujours su, comme une évidence, que j'étais une femme. Mais dès le collège, les gens avec qui j'avais grandi m'ont vu changer. Et cela ne leur a pas plu », analyse-t-elle aujourd'hui. À Bordeaux, Nana venait enfin de retrouver un peu de sérénité. Elle aura été de courte durée.

_________________
garcon quarantaine bien dans ses baskets toujours zen ... le pire des risques c est de ne jamais en prendre.kiss

Femme transgenre jetée dans le vide : deux suspects, ainsi que la victime, jugés en février
Selon nos informations, deux des quatre suspects sont convoqués devant le tribunal correctionnel. Plus étonnant, la victime elle-même comparaîtra le même jour, pour avoir blessé l’un de ses agresseurs.



C'est une soirée que Nana (pseudonyme) n'oubliera jamais. D'abord parce que ce samedi 7 décembre, la jeune Rennaise, installée depuis le mois d'avril à Bordeaux, célébrait ses 25 ans avec ses nouvelles amies. Mais surtout parce que c'est à l'hôpital que la fête s'est terminée pour elle, après avoir été rouée de coups et précipitée dans le vide par des agresseurs vraisemblablement transphobes.

Après leur virée en boîte de nuit, Nana et ses amies s'était rendues au petit matin cours du Chapeau rouge, pour récupérer des clés chez une amie. « Elle ne répondait pas à l'interphone, donc on s'est mis à crier son prénom dans la rue », raconte Nana au Parisien. Un tapage matinal qui a attiré l'attention de quatre individus, « complètement ivres » d'après elle.

4 personnes en garde à vue
Ces hommes à la carrure « d'anciens rugbymen, assez trapus » et à « l'accent du Sud », exigent que les jeunes femmes « se taisent », déroulera plus tard dans sa plainte Nana, actuellement en recherche d'emploi. « Ils nous ont insultées d'emblée : salopes, putes… » soupire-t-elle. En s'approchant, les individus comprennent que Nana est transgenre. Le ton serait alors devenu transphobe. « Fermez vos gueules », s'agace la jeune métisse, dont le père est d'origine ivoirienne.

Accompagnée par trois associations (Urgence homophobie, le Girofard et Flag) ainsi que par le référent LGBT du commissariat de Bordeaux, Nana a rapidement pu déposer plainte contre X dimanche. « J'ai été très bien accueillie par la policière qui m'a entendue », salue-t-elle. Le parquet a rapidement ouvert une enquête de flagrance pour « violences en réunion ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours sur personne en raison de son orientation sexuelle ou de l'identité de genre ». Mercredi, quatre suspects ont été placés en garde à vue par la sûreté urbaine de Bordeaux, a appris le Parisien de source policière.

« C'est un putain de travesti, jetez-moi ça ! »
Aujourd'hui, Nana n'espère qu'une chose : « que justice soit faite » pour « ses quatre agresseurs ». Car si les auteurs des coups n'étaient que deux, leurs comparses auraient eux aussi joué un rôle important dans le déchaînement de violences. « Ils ont incité leurs copains à la haine », affirme Nana. « Je les entendais dire On ne tape pas les femmes, mais c'est un putain de travesti ! Jetez-moi ça ! ».

Deux jours après son agression, Nana est encore très choquée. « Je ne dors plus. J'ai des flashs. Je n'arrive plus à réfléchir normalement », témoigne-t-elle. « On m'a jetée par-dessus un muret comme on jette d'un déchet. On m'a attaquée pour ce que je suis. Je ne peux pas m'empêcher de me remettre en question. »

Une agression d'une violence inouïe, qui a fait remonter les années d'« humiliations » et de « harcèlement » qu'elle a subies tout au long de sa scolarité à Rennes. « J'ai toujours su, comme une évidence, que j'étais une femme. Mais dès le collège, les gens avec qui j'avais grandi m'ont vu changer. Et cela ne leur a pas plu », analyse-t-elle aujourd'hui. À Bordeaux, Nana venait enfin de retrouver un peu de sérénité. Elle aura été de courte durée.

_________________
garcon quarantaine bien dans ses baskets toujours zen ... le pire des risques c est de ne jamais en prendre.kiss

Bordeaux : les agresseurs d'une femme transgenre condamnés à six mois de prison avec sursis

Le procès s'était tenu à Bordeaux fin février, plus de deux mois après l'agression. Les deux hommes condamnés ce vendredi vont faire appel de la décision.

Six mois de prison avec sursis, l'obligation d'effectuer un stage de citoyenneté et une mise à l'épreuve de deux ans. Le tribunal a suivi ce vendredi les réquisitions de la procureure. Les avocats des deux hommes mis en cause dans l'agression d'une femme transgenre à Bordeaux avaient eux demandé la relaxe. Ils vont faire appel. Le procès, qui s'était tenu la semaine passée devant la cinquième chambre du tribunal judiciaire de Bordeaux, avait duré plus de quatre heures.

La femme transgenre, qui avait porté des coups, est relaxée
Les deux hommes, des frères, étaient poursuivis pour avoir agressé, le 8 décembre 2019 au petit matin, une femme transgenre qui se trouvait en compagnie de plusieurs amies, avec lesquelles elle rentrait de soirée. La défense avait qualifié, durant le procès, la bagarre de "rixe d'ivrognes" et n'y voyait pas de transphobie. L'un des frères s'était porté partie civile car il avait été blessé au visage par les coups de chaussure à talon portés par la femme transgenre. Il a été débouté.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-d ... 1583510951

_________________
garcon quarantaine bien dans ses baskets toujours zen ... le pire des risques c est de ne jamais en prendre.kiss

Quelques mois de prison avec sursis pour ces gars du midi a carrure de rugbymens.
C'est à dire rien ! pour une agression à plusieurs malabars contre une femme qui aurait pu causer sa mort

Et en plus on requalifie ca en "rixe d'ivrognes" et on manque l'inculper a elle pour le délit de légitime défense !!
Sans doute que sa mixité africaine à contribué a ce que ces putains de racistes anti trans se déchainent encore plus
Justice a deux vitesses

Selon que tu sera ... etc

_________________
Yo ! toi compris ?

Tout ça est bien triste à lire ! Je ne vais pas reprendre toute l'affaire en détail mais juste rebondir sur quelques points évoqués ci-dessus.
Au sujet des caméras de surveillance, je suis à 100% pour, qu'on le veuille ou non ça produit un effet dissuasif et ça permet d'identifier les agresseurs.
Les enquêtes de police, il n'y a pas besoin d'être transgenre pour que les choses n'avancent pas. Le fils de mes voisins s'est fait agressé dans sa voiture il y a cinq à un carrefour dans la banlieue de Marseille. Il a reçu une pierre tranchante à la mâchoire, transporté à l'hôpital il a été opéré d'urgence, une opération de reconstruction qui a nécessité 4 heures. À deux centimètres près la carotide était atteinte, c'était la mort assurée. Il y a eu soi-disant une enquête qui bien sûr n'a jamais aboutie à quoique ce soit. C'était une bande de jeunes qui n'ont pas dû s'arrêter là dans sa carrière criminelle.
La justice en France est laxiste, c'est un pays où l'on voit des meurtriers faire trois ans de prison et sortir pour x raisons. Ça c'est la réalité en France. Contrairement aux États-Unis, la vraie perpétuité n'existe pas et les chefs d'accusation ne s'additionnent pas non plus. C'est sur ce dernier point que bien souvent aux États-Unis, un viol avec d'autres chefs d'accusation comme kidnapping ou agression à main armée, se solde en trente voire perpétuité alors qu'en France les mêmes faits c'est pratiquement rien du tout.

Enfin à propos des rubgymen, je suis persuadée qu'au moins l'un d'entre deux a une attirance refoulée, c'est un classique. Comme Elektra Abundance Wintour l'a magnifiquement bien souligné dans la série transgenre POSE, "They kill us because they hate what it means to love us".

Et aux États-Unis c'est tellement mieux que il y a dix fois plus de crimes.... Et de violence...

_________________
Petit a petit l'oiselle fait son nid !

Lysa

Tu parles d'un tout autre problème là sans connaître la réalité de la situation. New York depuis l'ère maire Giuliani est plus sécurisé que Paris où en banlieue parisienne il y a des zones de non-droit et où vivre en tant que LGBT y est impossible. Les zones de non-droit à New York ça remonte au début des années 80. Aujourd'hui la ville est ultra sécurisée. Au moindre incident, c'est une dizaine de voitures de police qui débarquent sur les lieux en 2 minutes chrono !
Je peux te certifier qu'il vaille mieux être une femme trans-visible à New York, Los Angeles, Boston ou San Francisco que Paris, Marseille ou des petites villes de province française comme Dijon ou Clermont-Ferrand.
La trans-visibilité est généralement plus acceptée aux États-Unis qu'en France. Cela dit, il y a des poches de forte criminalité et xénophobie aux États-Unis dans des États du Sud et de l'Ouest où s'ajoute dans des ces régions avant tout un problème de racisme.