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Message non luPosté: 04 Mar 2019 09:54 
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Inscription: 07 Jan 2013 22:21
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Bonjour tout le monde.

Voila, c'est compliqué a décrire, mais depuis quelques années, je deviens transphobe, et surtout envers ma dysphorie de genre. Je me demande même j'en souffre vraiment, où si c'est juste un "délire".

J'ai un peu lâcher mes objectifs de transition, puis depuis 2014/2015, avec l'essor de la "communauté transgenre ", je me reconnais en rien dans ce mouvement. Je veut dire, la "démédicalisation" de la dysphorie de genre je trouve ça dangereux, toute ces histoires extrèmes, fin, je suis totalement paumé.

Perdu vis a vis de moi même, ou j'en viens a me considéré comme simplement " déviant ", perdu vis a vis de la "communauté trans" qui part vraiment en vrille d'après moi, au final, j'en deviens aigris.

Enfin voila, on a tous des opinions différente, bien entendu, c'est juste mon ressentie personnel, mais je ne sait pas ce que vous en pensez.


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Message non luPosté: 04 Mar 2019 11:22 
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Inscription: 15 Aoû 2018 09:53
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Localisation: Banlieue PARIS
Je pense que tu veut comparer ton ressentie personnel avec d'autres ressenties, je vais te dire le mien. :D

il n'y a que toi, qui sache si tu es trans et quels sont tes besoins actuels. tu peux écrire ton histoire depuis l'enfance jusqu'à maintenant, cela peut d'aider à y voir plus clair.
Savoir qui tu es, et ce que tu veut, et peut faire dans ton environnement.

Je sais qui je suis ( je sais que c'est constant) et le fait qu'il soit possible dans notre société d'aujourd'hui et dans mon environnement social et économique de changé de sexe, rend mon besoin de transitionné irrépréhensible, je le fait pour moi, au moment que je crois opportun.
La dé-psychiatrisation et démédicalisation de la loi, permettant le changement d'état civil est un progrès pour nous, et aussi une arme contre le corps médical et qui permet de nous défendre vis à vis de celui-ci ( la loi dit que je ne suis pas une malade).
De toutes façons nous avons besoin du corps médical. ( psychiatre, endo, FFS, AM, SRS en France ou à l'étranger).
Maintenant les assocs, il ne faut pas en être esclave, mais les utiliser suivant nos besoins et pas plus.
Les assocs permettent de rencontrer d'autres trans, c'est intéressant. :D

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Contre l’agressivité, l'intimidation , les violences psychologiques, le harcèlement, les menaces et promouvons la tolérance
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Message non luPosté: 04 Mar 2019 12:08 
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Inscription: 06 Jan 2015 13:34
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Localisation: lyon 69006
J arrive a comprendre , beaucoup d association sont bonne , font des groupe de paroles , et oui permettent de rencontrer d autres T , cela aide souvent a mettre des mots ou certaines cherche encore des réponses . Mais ne nous voilons pas la face , pas mal d association depuis 2012 se sont politisés et sont en combat contre certaines choses , tu dois adopter leurs ideologies et te plier a certain truc si tu desire participer ou meme être présente , dans le monde T il y a tout les courants idéologique , toutes les facettes de notre société, certaines font de l anti sofect un cheval de bataille et rejoindre une des équipes c est l exclusion , surtout si tu viens a dire le contraire des mantra de pas ton experience , pareil pour la visibilité qui est un des fer de lance , ensuite il y aura les débat TPG , les débats sur la binarité, sur les anti androgène , pour beaucoup la militante se resume a la contestation et de moins en moins a l aide sans jugement du parcours. De plus a tous cela il faut ajouter un problème de plus en plus frequents , c est le non accès au lieux LGB , combien de lieux ou de groupe L et G sont fermé aux trans , sous des excuses bidons , a lyon deux gros bar lesbien , dont un interdit aux trans , quand tu voit que certain FTM se font virer des boites et bar Gay , et je ne parle pas de l exclusion passive , ou les T reste seul dans un coins toute une soirée , sorte de mise a l index les trans reste entre elles, soirée qui se voulais fédératrice . Je pense et c est mon analyse elle est valable pour moi et certainement imprégnée de mon ressenti. La communauté T a le cul entre deux chaises , prise au piège dans le Listing LGBTQI fédérateur , et ensuite dans une réalité plus terre a terre , T n étant pas une Orientation et cela posera toujour un soucis futur en cas de declaration d orientation , l identité trans étant pour beaucoup un frein a l acceptation. Aller voir ce que l on dit a une bio lesbienne en couple avec une trans , je vous garanti que c est pas cool . Et pareil si une trans est avec une homme , le jugement et assez acide pour l homme ( je l ai vécu dans un bar G et pas qu une fois , je me pensais dans un lieu secure , erreur de ma part ) ensuite je voyage souvent en Allemagne et en autriche pour des raisons familiales, et truc étrange , le mouvement T et totalement dissocié des mouvement LGB , meme dans les bars ou les clubs , il y a un retour des drag depuis quelques temps et une separation communautaire , j ai vu à Munich un bar avec un raimbox flag en autocollant façon récompense de l année au dessus des autres avec le nom des guide , tres explicite , G&L only .

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Message non luPosté: 04 Mar 2019 16:12 
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Inscription: 23 Nov 2009 20:20
Messages: 2513
nathasha69 a écrit:
J arrive a comprendre , beaucoup d association sont bonne , font des groupe de paroles , et oui permettent de rencontrer d autres T , cela aide souvent a mettre des mots ou certaines cherche encore des réponses . Mais ne nous voilons pas la face , pas mal d association depuis 2012 se sont politisés et sont en combat contre certaines choses , tu dois adopter leurs ideologies et te plier a certain truc si tu desire participer ou meme être présente , dans le monde T il y a tout les courants idéologique , toutes les facettes de notre société, certaines font de l anti sofect un cheval de bataille et rejoindre une des équipes c est l exclusion , surtout si tu viens a dire le contraire des mantra de pas ton experience , pareil pour la visibilité qui est un des fer de lance , ensuite il y aura les débat TPG , les débats sur la binarité, sur les anti androgène , pour beaucoup la militante se resume a la contestation et de moins en moins a l aide sans jugement du parcours. De plus a tous cela il faut ajouter un problème de plus en plus frequents , c est le non accès au lieux LGB , combien de lieux ou de groupe L et G sont fermé aux trans , sous des excuses bidons , a lyon deux gros bar lesbien , dont un interdit aux trans , quand tu voit que certain FTM se font virer des boites et bar Gay , et je ne parle pas de l exclusion passive , ou les T reste seul dans un coins toute une soirée , sorte de mise a l index les trans reste entre elles, soirée qui se voulais fédératrice . Je pense et c est mon analyse elle est valable pour moi et certainement imprégnée de mon ressenti. La communauté T a le cul entre deux chaises , prise au piège dans le Listing LGBTQI fédérateur , et ensuite dans une réalité plus terre a terre , T n étant pas une Orientation et cela posera toujour un soucis futur en cas de declaration d orientation , l identité trans étant pour beaucoup un frein a l acceptation. Aller voir ce que l on dit a une bio lesbienne en couple avec une trans , je vous garanti que c est pas cool . Et pareil si une trans est avec une homme , le jugement et assez acide pour l homme ( je l ai vécu dans un bar G et pas qu une fois , je me pensais dans un lieu secure , erreur de ma part ) ensuite je voyage souvent en Allemagne et en autriche pour des raisons familiales, et truc étrange , le mouvement T et totalement dissocié des mouvement LGB , meme dans les bars ou les clubs , il y a un retour des drag depuis quelques temps et une separation communautaire , j ai vu à Munich un bar avec un raimbox flag en autocollant façon récompense de l année au dessus des autres avec le nom des guide , tres explicite , G&L only .


Tout ceci est malheureusement vrai et n'est que le reflet du regard de la société en générale sur les T m ou f.
Ce n'est pas près de changer et je comprends dès lors le désir de certaines de vouloir être invisibles et non détectables. Mais ce n'est pas une vie non plus. Ce n'est pas tenable, toute une existence sans qu'il y ait le moindre accroc, à moins de trouver le/la conjoint(e) idéal(e).

Je comprends donc très bien la question de Bakura et je n'ai pas de réponse à lui fournir. Qu'elle se sente trans ou femme jusqu'au bout des ongles, ou pas, ne changera rien à la question. Qu'elle hésite à poursuivre sa transition, personne ne pourra l'en blâmer. Malheureusement, la "transidentité" ne lâchera pas prise pour autant et la souffrance de vivre à contre-courant ne fera que s'accentuer au fil des années.

La transidentité est par essence un phénomène social. Elle n'existe que par la ségrégation mâle/femelle dès la naissance, toujours d'un point de vue social. Elle est intrinsèquement liée à la misogynie et au discrédit de la femme depuis des siècles.

La parité est loin d'être gagnée pour les bios, comment espérer que les T puissent l'obtenir avant ?

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Message non luPosté: 05 Mar 2019 02:17 
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Irrépressible.

B
akura t'as pas besoin de te comparer à la communauté pour être trans. tu t'en fous de la communauté ou de leurs avis s'ils te déplaisent, ça change rien à ce que tu sois une femme dans un corps d'homme, ni à ce que tu transitionnes si tu es sûre que ça améliorera ta vie
n
e projette pas sur toi ce que tu vois des autres trans à l'extérieur et tu seras plus transphobe envers toi-même

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La drague c'est comme le cortisol : il en faut pour vivre mais on s'en habitue et quand y en a trop ça tourne mal.

t
ransitionner c'est s'abandonner à soi


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Message non luPosté: 05 Mar 2019 10:37 
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nathasha69 a écrit:
a lyon deux gros bar lesbien , dont un interdit aux trans ,

Bonjour Natasha, je ne connais qu'un bar lesbien à Lyon le Lbar, est-ce que ce bar exclue les femmes trans ? si oui, depuis longtemps ? merci

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www.youtube.com/user/58STO


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Message non luPosté: 05 Mar 2019 13:47 
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Localisation: lyon 69006
Non c est mon bar fétiche, j y vais souvent avec les copine du boulot , c est l’autre sur les pentes croix rousse . Sinon tu a le 203 ou l ambiance et TOP et c est souvent le rassemblement casse croute avant d aller a la terrasse du LBAR . Je n ai j avais eu de soucis au LBAR meme si ils on virer un couple T en janvier cela n’a rien a voir bien au contraire , c est un endroit calme sans prise de tête ou il ne faut pas non plus faire de vague ou s’éprendre de boisson et devenir lourdingue .

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Message non luPosté: 06 Mar 2019 08:56 
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Inscription: 22 Nov 2015 20:18
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nathasha69 a écrit:
Non c est mon bar fétiche, j y vais souvent avec les copine du boulot , c est l’autre sur les pentes croix rousse . Sinon tu a le 203 ou l ambiance et TOP et c est souvent le rassemblement casse croute avant d aller a la terrasse du LBAR . Je n ai j avais eu de soucis au LBAR meme si ils on virer un couple T en janvier cela n’a rien a voir bien au contraire , c est un endroit calme sans prise de tête ou il ne faut pas non plus faire de vague ou s’éprendre de boisson et devenir lourdingue .


j'y suis allée plusieurs fois au Lbar, bon accueil, mais bon, y aller seule c'est pas terrible non plus.... il faudrait que j'essaye le 203...
merci pour les infos

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Message non luPosté: 06 Mar 2019 14:01 
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Si je vais au L-Bar avec les collègues de boulot , c est uniquement pour une raison de tranquillité , car en presqu’île, 3 femmes a la terrasse d un bar , c est bonjours les emmerdeurs et les lourdingue, drague façon moyen age ! Dans un bar lesbien tu a l avantage de ne pas être importunée par ce type de personne , et si une demoiselle viens te faire du charme, elle n insistera pas si tu decline, c est la difference H/F , je n’y vais donc pas pour faire des rencontres, ce n est pas mon orientation , j y vais pour passer un moment entre filles , et c est un bar ou l accueil est assez cool et ou tout le monde parle avec tout le monde

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